Subtil mise sur les cartes connectées.

Dunkerque.

 

Lukas a 23 ans est responsable commercial d'une agence immobilière. Léo Vanhee a 25 ans et est étudiant en Master. Léo Vanhee a crée avec quelques amis l'association DK Clean Up, une association qui a pour but de ramasser les déchets dans les rues de Dunkerque. "Je ne fais plus partie de cette association car je n'ai plus le temps d'y être mais c'est une philosophie à laquelle j'adhère et le fait de proposer des cartes connectées rentre aussi dans cette démarche de limiter les déchets", explique-t-il.

Cette carte de visite connectée est valable à vie, sans abonnement.

"On peut changer les données en temps réel. Quand on sait qu'une carte de visite est perdue ou jetée sous 4 a 5 jours. la les données sont enregistrées directement dans le téléphone", ajoute Lukas Loyez.

Pour aller plus loin dans leur démarche environnementale. les deux jeunes entrepreneurs proposeront bientôt en plus d'une carte PVC blanc, des cartes en métal ou en bambou. des matières plus facilement recyclables.

 

Deux produits proposés.

 

Lukas Loyez et Léo Vanhee ont imaginé deux produits qui fonctionnent très bien. La carte de visite virtuelle dont il suffit de badger grâce à la technologie NFC ou de scanner le QR code pour enregistrer dans son téléphone les coordonnées complètes du détenteur. "Ce qui est bien avec cette carte de visite connectée, c'est que la gestuelle existe toujours. Le détenteur tend sa carte à la personne intéressée.", explique Lukas Loyez.

L'autre produit est une carte avis Google. "La personne vous tend la carte et vous pouvez en approchant le smartphone ou en badgeant le QR code, rentrer votre avis rapidement sur Google. Cette carte permet un taux de transformation plus important qua l'habitude", explique Léo Vanhée. Ces cartes sont compatibles avec tous les téléphones actuels.

Les deux entrepreneurs réflechissent à pouvoir faire disparaitre la carte complètement pour ne garder que les données.

"On regarde aussi pour décliner le produit sous une autre forme que la carte, un stylo par exemples." conclut Lukas Loyez. 

 

Par Sylvie Demilly.

 

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